samedi 19 décembre 2009

Bai tap mon TU VUNG HOC (nhom 1)

A Cassandre (Ronsard)
Je vais voir une mignonne qui avait déclose ce matin. Elle porte une robe de pourpre au soleil et à point perdu, je me demande si elle garde sa couleur. Les plis de sa robe sont pourpées et son teint est comme son pareil. Je veux lui dire que ses beautés disparaitront car le temps passe rapidement et la nature est marâtre. De plus, je veux lui dire que la beauté existe seulement dans un court moment. Elle est comme une fleur qui ne dure que du matin jusqu’ au soir. Donc, je pense que quand l’âge est fleuronne et sa vie est plus verte, vous ne laissez pas votre belle jeunesse car la beauté finira par la vieillesse.
“Heureux qui comme Ulysse…” (J.Du Bellay)
Ulysee a fait un beau voyage et les personnes qui sont comme Ulysee sont aussi heureux même si avec le cestuy qui conquit la toison. Il est retourné à la campagne avec son usage et sa raison. Il vivait entre ses parents pour toute sa vie. Et moi, quand je peux revoir la fumée de la cheminée de mon petit village et revoir ma pauvre maison. C’est tout ma province préférée.
J’aime le séjour bâti par mes aieux plus que les palais romains. J’aime le marbre plus que l’ardoise fine. J’aime le Loire gaulois plus que le Tinbre latin. Je préfère le petit liré à le mont Palatin et la douceur angevine à l’air marin.

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